Dans une lettre ouverte, la conférence épiscopale Burkina Faso-Niger répond au ministre de la santé le Pr Charlemagne Ouédraogo suite à ses propos sur l’utilisation des méthodes contraceptives. En effet, les positions de l’église et le ministre de la santé divergent sur la question de l’utilisation des méthodes contraceptives. Le ministre avait accusé les responsables religieux de saper les efforts du gouvernement sur les questions de santé sexuelle et reproductive.
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